L’article d’Isabelle Burgun publié par l’agence Science-Presse, fait écho au récent Forum organisé par le Fonds de recherche du Québec, auquel participait notamment Martin Goyette, cotitulaire de la CRJ. Extrait :
« Il faut peut-être démocratiser la formule de vulgarisation », suggère le professeur à l’École nationale d’administration publique, Martin Goyette. Il pense en cela à son propre cas : ayant mené des recherches sur les jeunes et l’itinérance — plus du tiers des jeunes avec un parcours étendu en protection de la jeunesse (DPJ) connaissent au moins un épisode d’itinérance — il se fait régulièrement accompagner par certains de ces jeunes lorsqu’il parle de ce qu’il fait. « Les jeunes doivent prendre la parole bien avant les scientifiques, ce sont les experts d’expériences », ajoute le cotitulaire de la Chaire réseau de recherche sur la jeunesse du Québec.
Les décideurs décident par des chiffres; les jeunes issus des services de la DPJ [et qui indiquent avoir connu au moins un épisope d’itinérance] consomment 40 fois plus [de] ressources [en santé mentale que les jeunes de la population générale].
Pour lire l’article en totalité : https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2024/12/09/communication-cle-confiance-science
