Lettre ouverte d’une cochercheure de la CRJ publiée dans Le Devoir.

La lettre d’opinion, intitulée Quels lendemains pour la reconnaissance du travail de rue?, est cosignée par Annie Fontaine et Fanny Gonzalez Gozalbes.

Si la pandémie a engendré de nombreux dégâts sociaux, la fragilisation d’un large pan de la société a aussi généré une part d’humanité et une plus grande sensibilité chez plusieurs citoyens envers les personnes vulnérables. […] Afin que cette bienveillance collective envers les personnes vulnérables ne soit pas seulement passagère, espérons que l’on continuera, au cours des prochaines années, de se préoccuper du sort des personnes marginalisées. Pour cela, la communauté de pratique en travail de rue promet de veiller au grain et de continuer à faire écho aux préoccupations et aux aspirations des laissés-pour-compte, qu’on a le devoir de ne pas oublier derrière nous !

Pour accéder à la lettre publiée sur le site du Devoir.



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